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voir aussi article plongeur PADI en France | ||||||||||||||||||||||
News dernières infosNouveaux décrets sur la plongée en France, et tout devient clairNeuchâtel, le 25 mars 2011 A chaque nouvelle législation en France, les plongeurs crient au scandale, comme quoi les plongeurs ne peuvent plus rien faire, qu'il faut être accompagné d'un guide pour plonger, qu'on ne peut plus dépasser 15m...etc. En pratique relativement peu de changements dans la légalisation française auront une influence sur le plongeur, voici quelques points importants à relever: Les plongées sont en principe organisées par un DP (directeur de plongée) ça ce n'est pas nouveau! Par contre la responsabilité du DP est augmentée car en plus du brevet, il doit vérifier les compétences réelles du plongeur (carnet et/ou discussion avec le plongeur) , en pratique ce n'est pas nouveau, mais comme c'est dans la loi en cas d'accident sa responsabilité sera augmentée. Cela permet aussi d'intégrer les plongeurs d'autres systèmes (PADI) si les plongeurs peuvent justifier de qualifications en plus de leurs brevets (voir article brevet PADI). C'est le directeur de plongée qui décide qui plonge en autonome ou non et à quelle profondeur, ça en pratique c'était déjà le cas, maintenant c'est dans la loi. Si tous les plongeurs sont P3 (niveau 3, P2+CH) et qu'il n'y a pas de DP, ils plongent où et à la profondeur qui veulent (max 60m) Maintenant les plongeurs P1 peuvent évoluer en autonomie sous certaines conditions, décision du DP. Les plongeurs qui ne sont pas autonomes plongent avec un guide de palanqué, les plongeurs niveau 4 français (P3 niveau 4) sont guide de palanqué, ainsi que les M2 étranger, dans la loi les P3 étrangers ne peuvent plus être guide, mais grâce à un accord avec la FFESSM, les P3 suisses peuvent demander la carte de guide français et sont donc P3 français avec cette carte (ainsi que les P4 CH ou M1) voir article sur la carte de guide. Remarque: seuls les plongeurs majeurs sont autonomes
* Tous ces brevets doivent justifier que leurs titulaires ont démontré un niveau technique au moins équivalent à celui des brevets de même niveau de la fédération délégataire, la FFESSM, et qu’ils ont été délivrés dans des conditions similaires. C'est le cas pour les brevets suisses, mais pas forcément pour des brevets obtenus dans certains pays (Israël par exemple). Le niveau 4 (P3 niveau 4) n'apparaît plus dans le tableau, car c'est un guide plongée. Daniel Germanier
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